Tandis que le président Magras s’égosille les plumes à justifier l’injustifiable, mais surtout poursuit son petit tac au tac perso avec le non moins individualiste maître branleur Jacques; tandis que l’accompli conseiller Chauvin s’héberge de plus en plus dans une posture isolée (fini l’ensemble pour saint barth voici benoitchauvin.fr : pas très .net pour un changement de nom de domaine); nous relayons ce court article, une sorte de repentir totalement inconsidéré et inconscient, non signé d’ailleurs et donc de ce fait anonyme, publié page 2 du dernier Journal de St Barth (le n° 939 du mercredi 3 août 2011) :
« Sur un plan technique, l’arrêt des travaux serait catastrophique ! »
« Stopper les travaux d’un ouvrage maritime qui n’a pas été complètement stabilisé, alors que nous sommes en pleine saison cyclonique, serait catastrophique », s’alarme Sophie Olivaud, responsable des services techniques de la COM de St-Barthélemy. Si le tribunal administratif n’a pas encore jugé l’affaire sur le fond, il a toutefois prononcé une ordonnance de suspension des travaux de réalisation du quai de l’Hôtel de la Collectivité (voir notre précédente édition). Cette décision fait suite à la requête intentée par le propriétaire de la villa, située en contrebas du Fort Oscar, et dont la propriété surplombera le futur quai destiné à accueillir des bateaux de plaisance. Selon lui, la construction qui amène le quai sous sa propriété n’était pas prévue dans le projet initial et serait donc illégale. Le tribunal administratif en débattra sur le fond, mais, pour l’heure, la décision des juges de suspendre les travaux met dans l’embarras la Collectivité de St-Barthélémy. Le chantier est très avancé, mais pas suffisamment pour que l’ouvrage soit stabilisé. La COM pourrait alors faire le choix de poursuivre les travaux et de payer l’astreinte de 1000 euros/jour prévue par l’ordonnance de jugement du 22 juillet dernier. À suivre donc.
À suivre ???
Comment donc « à suivre donc » ?
Vous voulez dire : « rechargez donc la pile du caméscope » ?
Comme si personne ne semblait comprendre si ce n’est admettre, que le vent souffle où il veut… et la houle dito, et très bientôt.