Tandis que le président Magras s’égosille les plumes à justifier l’injustifiable, mais surtout poursuit son petit tac au tac perso avec le non moins individualiste maître branleur Jacques; tandis que l’accompli conseiller Chauvin s’héberge de plus en plus dans une posture isolée (fini l’ensemble pour saint barth voici benoitchauvin.fr : pas très .net pour un changement de nom de domaine); nous relayons ce court article, une sorte de repentir totalement inconsidéré et inconscient, non signé d’ailleurs et donc de ce fait anonyme, publié page 2 du dernier Journal de St Barth (le n° 939 du mercredi 3 août 2011) :
Le 22 juillet, le tribunal administratif de Saint Barthélemy a rendu une ordonnance de jugement ayant pour conséquence, la suspension des travaux d’extension du quai de la Collectivité.
Saint-Barthélemy n’est définitivement pas une république bananière, mais que d’ananas, c’est écrit là : 41176 dussin en 1862 (d’après Högström, S. Barthelemy under Svenkt Välde [St-Barthélemy sous le régime suédois], 1888). Comment donc, vous ne parlez pas suédois ?? Impossible de s’asseoir…
Nous reprenons ici un article non signé publié dans Le Journal de Saint-Barth N° 938 du Mercredi 27 juillet 2011, page 4
Avec cette nouvelle ordonnance de jugement du tribunal administratif de Saint Barthélemy, il y a véritablement lieu de s’interroger sur la façon dont sont prises les décisions de la Collectivité. Car il faut bien le constater, les recours, de plus en plus nombreux, mettant en cause la légalité des décisions, aboutissent dans la plupart des cas à une suspension de leur exécution.
Transcription et « première tentative et digue » de décryptage du débat autour du point 4 (projet d’extension du Port de Gustavia) de la dernière réunion du conseil territorial de Saint-Barthélemy (29 juin 2011) : une vague plaisanterie ?
« Je ne connais personne qui soit vraiment opposé à cette idée de protéger le port » Nils Dufau, conseiller exécutif diguement obsédé par la « République qui agit, la République qui protège ». Vraiment ? Personne ? Même pas en Harley Davidson ? Alors mon nom est Personne…
Ce qu’a d’ailleurs confirmé tout dernièrement un autre visionnaire « back to realty », tout aussi policé, et de plus de 15 ans : « Il y a quinze ans environ, lorsque je m’occupais de la rédaction du Journal de St-Barth, nous avions publié un projet de développement du port qui répondait positivement et en détails à ces questions. C’était l’époque où l’on célébrait le 1er avril avec innocence. Si l’histoire avait été diversement accueillie, aujourd’hui elle ne fait plus guère de vagues, tout au moins dans son principe ». C’est cela oui : tout juste de la vaguelette et tout du moins dans la présipeauté en vogue. Gageons que ce projet de l’ingénieur Bourel soit tout de même reversé au dossier, si dès fois on le retrouve… dans les archives : rien n’est moins sûr.
55 minutes de masturbation : un record bientôt homologué ?
Source : Radio St-Barth FM :
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La digue 3 en 2×2 voies jusqu’au « Pain de Sucre » pour le fils Kadhafi du Nikki… sur une idée à Honoré Joseph
« The past is never dead. It’s not even past. » (William Faulkner)
Un horrible trou de mémoire : vous n’auriez jamais lu ça quelque part vous ? Qu’on ne pouvait faire aucun parallèle entre l’histoire récente de l’île de Saint-Barthélemy, son formidable essor, son incroyable destinée, et ce qui se passa sous sa période suédoise. Un petit édito, dans le Journal de Saint-Barth peut-être ? Madame Pierrette dément. Je retrouverai… peut-être. Vous m’y aiderez… peut-être. Bref, tout ça pour dire qu’on ne pouvait guère écrire plus à côté de la plaque : comment, par exemple, ne pas faire de rapprochement direct entre la numérotation des habitations de Gustavia intervenue en 2009 suite à une décision prise par les élus en 2007, et l’ « ordinance for the numbering of houses [in this town of Gustavia] » prise par le gouverneur Ankareim en février 1806 ? Et oui, bien que l’Homme (avec un grand H), ou la Femme (avec un grand F), se croie de plus en plus intelligent, il arrive que l’histoire se répète…