Le figaro 33 dans la Transat Ag2r La Mondiale pour promouvoir une histoire non controuvée de l’île de Saint-Barthélemy
Bien que reconnus par les plus grandes institutions, utilisés par des chercheurs de toutes nationalités, référencés des universités africaine, américaines, anglaises jusqu’aux Services Culture, Éditions, Ressources pour l’Éducation nationale et autre Centre national de documentation pédagogique française, les travaux du Comité de Liaison et d’Application des Sources Historiques consacrés à l’histoire de Saint-Barthélemy n’ont pas encore tout à fait atteint leur cœur de cible : il est en effet inconcevable que des adolescents à Saint-Barthélemy, interrogés il y a peu par un journaliste suédois, répondent qu’ils n’ont pas connaissance de l’histoire de l’île sur laquelle ils résident et étudient… parce qu’on ne leur en parle pas. Et il est tout aussi invraisemblable que parmi les journalistes, certains, essentiellement français, relayent encore aujourd’hui des inepties sur les sujets de la traite négrière et de l’esclavage sur l’île de Saint-Barthélemy (Saint-Barth : quand la presse en parle).