Mr le Délégué auprès du Représentant,
me suis présenté dans la moiteur de ce vendredi 18/5 après-midi, lourd casier judiciaire harnaché sur le dos, aux portes de cette ancienne prison suédoise de Gustavia, votre annexe. Comme envenimé par toute cette mascarade et ces branquignoles supplétifs, ai débauché le premier ivrogne trouvé en chemin, au coin de l’oubli select, et nous avons enquillé au mieux les pavés de la rue de la gaule du général.
Et puis, un peu comme dans cette fable sud-américaine bien chrétienne : Seigneur, pourquoi en ces temps les plus pénibles m’avez-vous abandonné, alors même que vous m’aviez promis d’être là à mes côtés, pourquoi une seule empreinte de pas sur le sol ? Mais, c’est qu’en ces moments là, je t’ai porté mon fils…