Repentance, réparation, répartition, partition : « ça ne se dit pas »… Ira t-il, où y raton ?
Du partage à l’acceptation l’effort de connaissance paraît-t-il définitivement amorcé;
Dans l’encadré de l’exposition « Histoire de voyage », le museum du « Steinmetz House » à Gustavia (St barth et les miens) met en musique et en images sans épée ni Bologne les partitions du « Mozart Noir » de Voltaire de Candide du Surinam…
« Saint-Barth : Histoire de voyage », du 3 novembre au 29 avril, à Gustavia (Saint-Barthélemy).
P.S. : s’agissant du panneau « Et les esclaves ? » de cette exposition, le Comité de Liaison et d’Application des Sources Historiques, cité en source unique du-dit panneau, précise qu’il n’a jamais été question dans ses travaux, de ces assertions :
- « certains [esclaves] sont également importés directement depuis le comptoir suédois situé sur la Côte d’Or, dans l’actuel Ghana »… puisqu’à l’époque où Saint-Barthélemy est devenue suédoise, la Suède n’avait déjà plus de « comptoir situé sur la Côte d’Or, dans l’actuel Ghana », Saint-Barthélemy étant alors, et pour la suite et fin, la seule terre que possédaient les suédois hors Scandinavie…
- « car si beaucoup sont des esclaves domestiques, notamment sur Gustavia – dont on dit que la pénibilité des tâches à accomplir est moindre (…) » : les esclaves à Gustavia étaient surtout exploités pour décharger / charger les navires, qui ne pouvaient (par manque de profondeur dans le port) se mettre à quai : pas sûr dans ce contexte d’une pénibilité moindre…