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People Saint-Barth : notre avocat islandais investit le Capital

Lundi 27 février 2012  |  7 commentaires  |  Flux RSS des commentairesFermé, faire un rétrolien

De notre envoyé très spécial en Mustang à Saint-Barthélemy

Vaval ka kité nou - Gustavia - mercredi 22 février 2012 des cendresOn commençait à s’ennuyer ferme sur le caillou : depuis notre traditionnelle bûche du réveillon toujours servie Inside sur TF1, plus un article, plus un reportage à la française sur Saint-Barth notre île star, voire même tsar maintenant, comme la plus célèbre vodka; Et ce n’est pourtant pas faute de s’activer, avec une pré-campagne électo-territoriale pleine de palpitations;

Voilà enfin de quoi se mettre sous la dent en or, et grâce en soit rendu à Patrice Piquard, rédacteur en chef adjoint du mensuel Capital, qui a sillonné récemment Saint-Barthélemy sur internet, et nous signe un article très engagé en bleu et vert dans le n°246 de ce mois de mars 2012 : « Saint-Barth : main basse sur
le paradis des people
».

Admirons au passage le travail remarquable de ce journaliste diplômé de Sciences Po… en se référant à cet autre article, « Pourquoi les stars adorent Saint-Barth », publié par Patricia Jouvenceau sur Capital.fr en janvier dernier;

Ainsi par exemple pour Patricia : « ceux qui ne le connaissent pas [ce confetti des Caraïbes] affichent souvent un dédain méprisant pour sa renommée de paradis bling bling. (…) Pourtant, ces conditions idylliques qui font le bonheur des people ne suffisent plus à assurer celui des îliens, qui cachent parfois une humeur chagrine sous leur bronzage », mais pour Patrice : « le paradis bling bling qui fait le bonheur des touristes fortunés ne garantit plus celui de ses 9000 habitants. Certains affichent même une mine chagrine sous leur éternel bronzage. »

Toujours pour Patricia : « Il y a d’abord la surévaluation de l’euro par rapport au dollar. Or, durant la haute saison d’hiver, plus de 80% des touristes sont Américains. Ceux qui ne sont pas milliardaires, mais simplement riches, ont tendance à demander un discount sur la location des villas et à limiter leurs sorties ou leurs achats. (…) Le conseil territorial en est réduit à convier les journalistes (…) pour leur vanter les charmes d’une île «pas si chère que cela en été». Une période où les visiteurs sont plutôt les grossistes du Sentier et des ploucs russes en goguette », mais pour Patrice : « depuis 2008, la crise et le cours élevé de l’euro incitent les Américains (qui réservent 80% des séjours) à demander des ristournes sur la location des villas et à limiter leurs sorties et achats. Quelques poignées de Russes, de Brésilien et de grossistes du sentier suffisent à peine à compenser. »

Encore pour Patricia : « de nouvelles maisons surgissent partout, (…) l’esprit Saint-Barth a du plomb dans l’aile. L’auto-stop ne fait plus recette, les 4 x 4 prolifèrent, des mégots apparaissent sur les plages et le temps où on pouvait laisser sa voiture et sa maison ouvertes en toutes circonstances est révolu », tandis que pour Patrice : « les collines se sont couvertes de maison, (…) Chantier permanent, l’île découvre les embouteillages, les mégots sur les plages et les cambriolages. «L’esprit Saint-Barth», fait de gentillesse et de décontraction, a du plomb dans l’aile. »

Bref, Patrice patricia du grand art. Et avec ça un magnifique portrait du Président Magras contre lequel l’article est orchestré. C’est vrai qu’il en impose notre Al Pacinono territorial sous l’objectif du photographe de l’extrême Marcel Mochet : « aucun goût pour le débat d’idée », « pratiques musclées », certes, mais… le cheveu grisonnant finement peigné, mont blanc à la pochette, moustache au poil, gourmette et cravate assorties à la monture ray-ban : que demande le peuple ?

Pour le reste, et à bien lire les trois pages de cet article de la presse nationale, il n’y en a surtout que pour Emmanuel Jacques le bleu et vert, ce qui en pleine lumière est quand même un peu cyan; d’autant que ce grand magraphobe devant l’éternel dénonce ce week-end sur son site électoral une « inégalité flagrante de droit d’expression des listes » : « Saint Barth d’Abord [se serait] exprimée 86 minutes de plus que les autres listes ! », et combien de lignes dans Capital ? « Notre démocratie a beaucoup de progrès à faire », notre démocratie a surtout bon dos…

7 commentaires

  1. De ARGENCE :

    J’ai lu cet article dans CAPITAL. Je le trouve intéressant en ce sens qu’il informe quand même sur les pratiques politiques contestables du président de la collectivité.
    Après seuls les insulaires jugeront en connaissance de cause.
    Il faut battre la majorité actuelle, sinon quoi qu’il soit dit ou écrit reste vain.

    Mercredi 29 février 2012 à 12 h 10 min
  2. De guy la machoire :

    Il est très facile de critiquer et de donner aux uns et aux autres des surnoms ou titres moqueurs
    Ceux qui pensent comme l’exprime cet article,peuvent quitter Saint Barth celà nous fera plus de place et notre air plus respirable. Les banlieues métropolitaines vous attendent les bras ouverts sans bronzage mais avec l’arme au poing
    A bon entendeur salut

    Lundi 5 mars 2012 à 15 h 44 min
  3. De COMMUNIQUE DE PRESSE :

    Demande de droit de réponse au Magazine Capital

    Le Président de la Collectivité d’Outre-mer de Saint-Barthélemy tient à informer tous ses concitoyens de sa volonté de voir publier par le Magazine CAPITAL le droit de réponse de la Collectivité à la suite de son article caricaturalement intitulé : «Saint Barth main basse sur le paradis des People».

    En effet, il n’est pas tolérable qu’un journaliste qui n’a manifestement ni vérifié ses sources, ni interrogé les personnes mises en cause et citées dans cet article, donne une image ubuesque de l’île de Saint Barthélemy.

    Cette absence de professionnalisme a conduit le journaliste à une présentation grotesque et fausse de notre politique environnementale, alors que l’implication de la Collectivité en faveur de la protection de l’environnement et de la préservation du cadre de vie est déjà ancienne. Ainsi, après avoir mis en place des Modalités d’Application des Règles Nationales de l’Urbanisme au mois d’août 1998, dans le but de protéger les espaces naturels, Saint-Barthélemy est la seule île de la Caraïbe à avoir construit une Usine d’Incinération des Ordures Ménagères, agréée aux normes européennes, et dont la vapeur est récupérée pour produire 1200 mètres cubes d’eau potable par jour. Nous avons également procédé à la mise en place du tri sélectif, à l’expédition de nos déchets ultimes en décharge de classe 1, ainsi qu’à la mise en souterrain des câbles en tout genre qui défiguraient jusqu’alors notre environnement visuel.

    S’agissant des règles d’urbanisme, le Président rappelle que les dossiers de permis de construire sont instruits par la Commission d’urbanisme, dont la présidente a été élue sur une liste d’opposition lors des élections territoriales du 1er juillet 2007, et que les décisions de délivrance de permis de construire sont décidées de manière collégiale par le Conseil Exécutif sur la base de l’avis de la Commission d’urbanisme, qui est dans la très grande majorité des cas toujours suivi.

    Il en va de même s’agissant de la Commission d’appels d’offres et d’adjudication, qui est présidée par un élu d’opposition M. Maxime DESOUCHES, dont les avis motivés ont été suivis par l’autorité territoriale.

    Ainsi, et n’en déplaise aux divers protagonistes de l’article incriminé, la Collectivité respecte les principes de la République dont elle est fière de faire partie intégrante.

    De même, le Président de la Collectivité rappelle que Saint-Barthélemy est un territoire français et que l’accession aux acquisitions immobilières est effectuée selon les règles de droit et n’est pas réservée qu’aux seuls résidents de l’île, comme le suggère tendancieusement l’article.

    Au final, et comme le disait TAYLLERAND, tout ce qui excessif est insignifiant. Pour autant, les élus ne peuvent pas laisser s’insinuer des images tronquées, alors que tous les résidents et quelle que soit leur origine font de Saint-Barthélemy un territoire serein et prospère de la République, où le travail demeure une vraie valeur.

    Pour ces raisons, nous formons le voeu que le magazine CAPITAL publiera le droit de réponse que nous allons lui transmettre. Dans le cas contraire, la Collectivité précise qu’elle se réserve la possibilité d’intenter une action en justice à l’encontre du magazine.

    Jeudi 8 mars 2012 à 23 h 31 min
  4. De les cayes :

    cher jacques
    comme disait un ancien maire de st barth : DANS SON REIN – ou en créole : EN TCHOU A W. même pas peur et même pas pu présenter sa liste.Merci Mr le Préfet.
    Savez vous qu’il y a des avions et des bateaux qui vous mènent vers d’autres cieux?
    Et quand au journaliste : renseignez vous sur l’affaire de « secouons le cocotier: cet écrivain n’a plus jamais refoutu ses pieds sur l’île.
    BON VENT MESSIEURS

    Samedi 17 mars 2012 à 15 h 38 min
  5. De stbarthreunion :

    et nous voici encore une fois à St Barth avec Monsieur le roi Magras. Attention il n’y a plus de démocratie dans une île de la République Française. St Barth d’Abord dont le seul programme est la discrimination affichée dans son nom. Malheureusement les pas St Barth ne se passionnent pas pour les élections car ils pensent qu’ils sont de passage donc cela ne sert à rien. Alors les élections par des électeurs qui sont tenus à la gorge par leur roi qu’ils acclament ce soir au palais de la collectivité. Capital a fait un article qui est encore loin de vérité. Peu de St Barth ose se dresser contre le roi car gare à eux. Leurs droits seront bafoués d’une façon ou d’une autre et ils le savent. Pauvre peuple ignorant, stupide, et soumis. Voila ton roi, surtout ne réfléchit pas c’est ce que tu sais faire de mieux.

    Lundi 19 mars 2012 à 5 h 17 min
  6. De COMMUNIQUE DE PRESSE :

    Le journaliste de Capital répond à Bruno Magras (JSB 970 du 12 avril 2012)

    Patrice Piquard est l’auteur de l’article du magazine Capital intitulé « Saint-Barth : main basse sur le paradis des people ». Publiquement critiqué par le président de la Collectivité Bruno Magras, Patrice Piquard a souhaité lui répondre dans les colonnes du Journal de Saint-Barth.

    «A la suite de la publication par le magazine Capital d’un article consacré à Saint Barthélémy, Bruno Magras a placé un communiqué sur le site de la Collectivité et tenu à la radio des propos mettant en cause le professionnalisme et la déontologie du journaliste qui l’a écrit. Etant l’auteur de cet article, je tiens donc à préciser les points suivants : Depuis que j’ai obtenu ma carte de presse il y a trente trois ans, c’est la première fois que de tels reproches me sont adressés.

    Je ne suis pas un journaliste ayant effectué un bref passage sur l’île. J’ai visité Saint Barth dès 1989 et j’y ai séjourné à de nombreuses reprises. Depuis une décennie, j’y passe au moins un mois par an, comme peuvent en témoigner mes connaissances et amis. La différence du mode de gouvernance en vigueur sur l’île avec celui des communes de métropole m’a frappé, et il m’a paru intéressant de le décrire dans un article.

    Lors de mon enquête, en décembre 2011, j’ai bien entendu rencontré Bruno Magras. Considérant apparemment qu’un journaliste parisien ne pouvait pas connaître grand chose de la vie de l’île, il m’a tenu des propos surprenants, affirmant entre autres :
    - qu’il n’avait aucune idée de l’évolution au cours des dernières années du nombre de permis de construire accordés par la Collectivité pour de nouvelles maisons. Difficile à croire, car une des promesses de son précédent mandat était de favoriser la rénovation et de limiter les permis concernant les constructions neuves.
    - qu’il ignorait l’identité de l’acquéreur lorsque la Collectivité a voulu exercer son droit de préemption sur une maison qu’Emmanuel Jacques se proposait d’acheter. Et que c’est contre son avis que le Conseil exécutif a ensuite intenté une action pour exproprier le dit Emmanuel Jacques, car il y était totalement opposé. Très difficile à croire.
    - que loin de déverser des gravats en zone verte à Salines, un des propriétaires y a déposé des remblais propres en terre végétale destinés à consolider la dune, ce qui justifie la non-intervention de la Collectivité. Des photos du site publiées par le magazine Pure mettent cette thèse à mal.

    Au cours de cet entretien, Bruno Magras m’a également assuré que ni les taxes locales, ni les impôts d’Etat n’augmenteraient à St Barth dans les années qui viennent. L’exigence récente du paiement de la CSG sur les revenus financiers (y compris les loyers) vient pourtant déjà contredire cette affirmation.

    Si j’ai également rencontré au cours de cette enquête Emmanuel Jacques, je n’avais jamais eu le moindre contact avec lui auparavant. La suggestion que mon article aurait pu être « téléguidé » par cet opposant est donc absurde.

    Enfin, sur le site de la Collectivité, il était précisé que si Capital ne publiait pas le droit de réponse qui lui serait adressé, la Collectivité se réservait le droit d’engager des poursuites. Le magazine est tout disposé à publier ce droit de réponse, d’autant qu’il en a l’obligation. Encore faudrait-il qu’il l’ait reçu, ce qui jusqu’à ce jour n’a pas été le cas.»

    Patrice Piquard

    Vendredi 20 avril 2012 à 23 h 26 min
  7. De COMMUNIQUE DE PRESSE :

    Mise au point de Bruno Magras adressée au journaliste de Capital (JSB 971 du 19 avril 2012)

    Suite à la publication dans le précédent numéro du Journal de Saint-Barth d’une tribune de Patrice Piquard, journaliste de Capital, Bruno Magras a souhaité apporter la mise au point suivante :

    «Dans une réponse publiée dans le numéro 970 du Journal de Saint-Barth du 12 avril 2012, M. Patrice Piquard, journaliste du magazine Capital, a jugé utile d’apporter selon lui, des précisions sur le communiqué mis en ligne sur le site de la Collectivité et sur les propos que j’ai tenus à la radio, suite à son article intitulé : «Main basse sur le paradis des peoples » paru dans le numéro 246 de Capital de mars 2012 et dans lequel j’ai été allègrement insulté. J’ai donc à mon tour décidé de réagir.

    Si après vérifications, il est exact que j’ai bien reçu ce journaliste à mon bureau le mercredi 14 décembre 2011 et qu’à ce titre je lui dois des excuses, je me dois aussi d’être sincère en indiquant au lecteur, que si j’avais pu au préalable, déceler le degré d’honnêteté intellectuelle qui se cachait derrière le visage de l’homme que je recevais, ce dernier n’aurait jamais franchi la porte de mon bureau.

    J’ai répondu aux questions de Monsieur Piquard, avec clarté et sincérité.

    Si j’ai indiqué à ce dernier que je n’étais pas en mesure de lui donner le nombre exact de permis accordés pour de nouvelles maisons, je n’ai fait que lui dire la vérité. En effet, comment auraisje pu lui fournir un chiffre précis, sans en référer au Service de l’Urbanisme afin de dissocier de l’ensemble des permis accordés (permis modificatifs, permis d’extension de maisons existantes, permis d’édification de murs de clôtures etc), ceux qui concernaient les nouvelles maisons ?

    Monsieur Piquard m’accuse de lui avoir affirmé que j’ignorais l’identité de l’acquéreur de la maison qu’Emmanuel Jacques se proposait d’acheter et sur lequel le Conseil Exécutif avait fait valoir son droit de préemption. C’est inexact. J’ai tout simplement indiqué à M. Piquard, qu’à ce moment précis, je ne connaissais pas personnellement Emmanuel Jacques. Si par ailleurs, j’ai précisé que je n’étais pas le plus adepte de l’application du droit de préemption sur cette parcelle, non seulement je le confirme, mais je peux le prouver par les échanges de mails que j’ai eus aussi bien avec les membres du Conseil Exécutif qu’avec le vendeur, Madame Carole Smith. Ceci étant, il est quand même surprenant que quelqu’un qui prétend ne pas connaître Emmanuel Jacques, puisse s’intéresser à ce point, à l’application du droit de préemption sur la parcelle de ce dernier et non sur celles des autres !

    S’agissant de la dépose de remblais propres sur la propriété privée des Salines, n’en déplaise à Monsieur Piquard, je persiste et je signe.

    Quant à l’augmentation des impôts, là encore ce journaliste fait preuve d’une honnêteté qui laisse à désirer. Si je lui ai bien confirmé qu’en l’état actuel des choses il n’y avait aucune raison d’augmenter la pression fiscale sur l’île, a contrario, je lui ai aussi indiqué que non seulement la CSG et la CRDS étaient en partie appliquées dans l’île depuis leur institution, et que selon moi, elles continuaient à s’appliquer à Saint-Barthélemy en vertu de l’article 6214-4 de la loi organique. D’ailleurs si la Direction de la législation fiscale de Bercy a jugé utile de le préciser, c’est justement parce que certains «Juristes» tentaient de faire croire aux plus naïfs, que ces impôts sociaux n’étaient pas dûs. Aujourd’hui ce sont ces mêmes pompiers pyromanes qui crient au feu.

    Enfin quant à mon droit de réponse, que Monsieur Piquard se rassure, il a bien été adressé au magazine Capital et j’espère bien qu’il sera publié. Mais je ne saurais conclure sans m’interroger sur le comportement de Monsieur Piquard, qui, après avoir investi sur l’île de Saint-Barthélemy depuis une dizaine d’années et bénéficié de ses avantages, s’octroie ainsi le droit de la dénigrer et d’insulter ses élus !

    On aurait pourtant pu croire que la réponse claire et sans appel qui lui a été adressée par les électrices et les électeurs de Saint-Barthélemy le 18 mars dernier l’aurait conduit à la raison, ce n’est manifestement pas encore le cas.»

    Bruno MAGRAS

    Vendredi 20 avril 2012 à 23 h 37 min

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