Le Mémorial toujours en chantier. La municipalité nantaise plaquée sous verre pour des textes en Allemagne et des lames en Espagne.
C’était le 27 octobre, un jeudi. Je rentre de Paris. Nantes ici Nantes, terminus de ce train, tous les voyageurs sont invités à descendre. Quelques minutes plus tard, j’amorce ma descente de l’affreux pont Haudaudine direction Place de la République et là mes yeux écarquillés découvrent la belle affiche annonçant l’inauguration prochaine du Mémorial à l’abolition de l’esclavage. Un texte percutant nous mettant directement face à la réalité historique, dit en substance : « Nantes et la traite négrière, ce sont 450 000 déportés ! ».
Je dis : « waouh ils y vont fort »